La gifle
« La gifle est sublime
Froide, criante de désintérêt
J’ai des cailloux dans la main, je les avale un à un. J’ai une carrière dans le ventre
Le cœur ou l’orgueil, mon orgueilleux cœur
Il me reste un peu de larmes, à voir si je les fais couler
Pourquoi au fond? Pour quoi? »
Owen :
Et si les cailloux étaient du miel ou le suc des corolles. Et si les mots « cœur orgueilleux » signifiaient plutôt « corne d’abondance » ?
Et si ce point d’interrogation ? Était une carte chance ou la clé façonnée d’une humble assurance
Et si le décor gris en carton-pâte en cachait un autre, et les conteneurs géants porteurs de blés flamands et de cotons anglais
Je résume ce qui revient :
zone inondable, murs de ta taille
hauts bâtiments fluviaux invités chez soi j’adore
bombes lâchées par erreur (usine Renault)
dancing
ce n’est pas si factuel que ça... moi je trouve que c’est plein de glamour ces projections humaines. Je t’invite à cette relecture