26 novembre 2020
Une île
Le brouillard a l’odeur de ton pardessus
J’ai entendu tes larmes
Étrangement ton abandon me fait du bien
Le brouillard s’est dissipé
Il reste ton visage
Au pied de l’île
Mes pieds timides dans l’eau
Le panorama est beau
Je laisserai parfois mon panama
Travailler du chapeau un peu plus haut
Quand noirs nuages mercantiles
Mer quand il
descendra le pas habile
Gonfler vanille, et peau
L’eau qui scintille
-Une explo
Sion
Cent chênes !
Sur la pupille
vrillent
des bonhommes en papier cuit
Sur les papilles
des trilles,
plus ou moins serrés, rêve d’une parfaite confusion, rêve de vol
quand
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