Darwin, lampes de poche et bis-cuits

Au fond un mur...... 

le mur où on trouve les mûres, quelle belle co-incidence nous  

c’est vrai qu’on est bien, il faut dire que tu es patiente, tu aimes les gens, recherche leur compagnie en général je pense, moi aussi je suis comme ça, mais je me sens bien j’ai l’impression que tu es là oui tu as raison comme ce mur rempli de mûres où l’on s’adosse en plus de s’y délecter l’été. C’est familier, chaud et bon et doux. J’espère, en rêve, que je t’équilibre comme on fait le poirier avec le fou-rire dans ce jardin, comme on sort la nuit avec des lampes de poche sans réveiller personne. Ah, ces fous-rires au fait reviendront-ils ? Cadavres exquis sur le lit. Un chez nous sans conditions ?.... Pourtant en général il n’y a que Dieu ou les morts ou les chiens, où les cyniques trop rationnels qui sont là absolument, présence, sans tourmente, avec nous. Même les amis, amants, les mimants les momies ce n’est toujours pas ça. Même si j’en rêvais ton jardin a un goût de paradis. Deux graines ?

On s’équilibre tu crois ? Tout en nous ressemblant. Garçon-fille anomalie darwinienne chat et chien qui ne se bilent pas ? Quelques chamailleries pour un ou deux biscuits...

Et derrière le mur ? 

Le mur se tient pour lui-même... Catalyseur de rêve(s) Moteur de vie. Peut-être un peu gardien aussi, façon « chaperon » comme disaient nos grands-parents...